A cura di @pigtr.
Un secolo fa iniziava a Petrograd la rivolta bolscevica contro il governo provvisorio di Kerensky, avviando quella che diventerà una serie di lunghe e sanguinose lotte che non si concluderanno del tutto prima del 1923. Il sito Project1917 segue con un liveblog gli eventi.
Giampiero Piretto su Doppiozero ricorda gli anniversari dell’epoca sovietica. Il Wall Strett Journal propone un bilancio molto negativo di questi cento anni, mentre sul Washington Post Anne Applebaum si preoccupa di un possibile ritorno del bolscevismo, questa volta da destra. Lo Spiegel parla del difficile rapporto della Russia di oggi con questo anniversario e su Le Monde Diplomatique, che pubblica un dossier sulla rivoluzione russa, Sege Halimi si interroga sull’attualità dell’esperienza sovietica:
La « fin du communisme » a paru trancher le grand débat qui opposa les deux principaux courants de la gauche internationale après la révolution russe, la défaite d’un des protagonistes signifiant la victoire de l’autre, c’est-à-dire la revanche de la social-démocratie sur son cadet plus turbulent. Mais ce triomphe a été de courte durée. Le centenaire de la prise du Palais d’hiver coïncide en effet avec la rafale de revers que vient d’essuyer le courant réformiste. La dynastie Clinton est balayée ; MM. Anthony Blair, Felipe González et Gerhard Schröder font des affaires ; quant à M. François Hollande… Simultanément, une forme d’impatience, de radicalité renaît dans la plupart de ces pays — et ailleurs.
Peu avant la célébration aux airs d’exorcisme du bicentenaire de 1789 en France, le socialiste Michel Rocard estimait « que la Révolution, c’est dangereux et que, si on en fait l’économie, ce n’est pas plus mal (10) ». Trente ans ont passé, la mondialisation s’est imposée, les fantômes sont revenus, et la momie de la révolution remue encore.
Immagine da Wikipedia.
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